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Fête de la Science à l'IPSL

11/10/2022 10:00

Les laboratoires de l’IPSL fêtent la Science du 7 au 16 octobre 2022.

14es rencontres scientifiques de l’OSU-EFLUVE

20/09/2022 12:00

En 2021-2022, l’OSU-EFLUVE a relancé ses Rencontres scientifiques, l’objectif étant de présenter les projets fédératifs retenus et les services d’observation retenus dans le cadre des appels d’offres de l’Observatoire.

Journée scientifique SIRTA 2022

16/09/2022 09:30

Le SIRTA, Observatoire de Recherche Atmosphérique de l’Institut Pierre-Simon Laplace, organise cette année sa 21e Journée Scientifique.

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Cycle des métaux traces bioactifs dans l'océan

05/04/2023 11:00

Certains éléments traces métalliques sont des micronutriments essentiels au développement des floraisons phytoplanctoniques, ce qui leur confère un rôle majeur dans la pompe biologique de carbone dans l’océan. Ces éléments sont des cofacteurs de nombreuses enzymes et peuvent donc limiter la production primaire si leurs concentrations sont trop faibles dans la couche de surface.

Comment publier et financer les articles de recherche à l'ère numérique ?

04/04/2023 11:00

Séminaire du département de Géosciences de l’ENS.

Unique thermal expansion properties of water key to the formation of sea ice on Earth

03/04/2023 11:00

The formation of sea ice in polar regions is possible because a salinity gradient or halocline keeps the water column stable despite intense cooling. Here, we demonstrate that a unique water property is central to the maintenance of the polar halocline, namely, that the thermal expansion coefficient (TEC) of seawater increases by one order of magnitude between polar and tropical regions.

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Interactions entre la Température et la Composition Atmosphérique de la Surface à la Stratosphère

11/02/2025 14:00

Depuis 2017, mes recherches, couvertes dans ce manuscrit, se sont concentrées sur l’étude des températures et de leur relation avec la chimie atmosphérique, notamment la température de surface de la Terre (Tskin), en utilisant l’instrument IASI (Infrared Atmospheric Sounding Interferometer). Tskin est une variable sous-estimée dans l’étude du climat en raison des défis liés à sa mesure par satellite et aux problèmes d’inversion. Dans ce manuscrit je décris le développement d’un produit Tskin fiable à partir d’algorithmes basés sur l’intelligence artificielle. Je démontre l’importance de la Tskin dans l’étude du changement climatique, des îlots de chaleur urbains, des événements extrêmes, ainsi que dans la volatilisation des engrais du sol.

Par la suite, mes travaux ont porté sur les températures stratosphériques, où j’ai étudié leur lien avec l’ozone et les effets des épisodes de réchauffement stratosphérique soudain, fréquents en Arctique et rares en Antarctique où un cas d’étude en 2019 a été analysé.

Plus proche de la surface, j’ai exploré la température humide, un indice de confort thermique, dans la péninsule Arabique, mettant en évidence son impact sur le confort thermique dans des villes comme Dubaï et Abu Dhabi.

Le travail présenté ici se poursuivra jusqu’au moins 2040, avec le lancement d’instruments tels que IASI-Nouvelle Génération, qui offrira une résolution spectrale plus fine, et IRS (Infrared Sounder), qui apportera une résolution spatiale et temporelle améliorées.

Le développement instrumental LIDAR et son apport à l’étude de la dynamique atmosphérique et du cycle du carbone

24/01/2025 14:00

Les puits océaniques et biosphérique terrestre de CO2 limite actuellement les effets de l’injection anthropique massive de CO2 d’origine fossile dans l’atmosphère. Cependant le réchauffement actuel global de 1.5°C atteint en 2024 comparé à l’ère préindustrielle pose question sur l’évolution de la variabilité temporelle et spatiale des puits de CO2 mais aussi des émissions de CH4 dans le futur. L’estimation et la caractérisation des flux de carbone surface-atmosphère à différentes échelles reposent à la fois sur des observations et sur notre capacité à modéliser le transport atmosphérique et les propriétés de surface. L’enjeu de la fiabilité de ces estimations est considérable pour guider les politiques de contrôle/réduction des émissions mais aussi pour développer des futurs puits naturels/ artificiels de carbone.

Dans ce contexte, j’ai mené un travail de développement instrumental LIDAR de rupture dans les observations notamment de gaz à effet de serre. Un observatoire LIDAR mobile 3D a été développé pour mesurer les champs et les flux associés de vent, température, eau et carbone (CO2 et CH4) dans l’atmosphère. En parallèle, j’ai travaillé sur la mesure spatiale en étant co-investigateur de la mission LIDAR MERLIN (CH4). Au-delà des apports à la science fondamentale, ces développements instrumentaux ont trouvé diverses applications industrielles.

En parallèle, je me suis aussi intéressé aux processus de transport des scalaires dans la couche limite atmosphérique en considérant les transitions diurnes et de surface (urbaine-rurale, désert-végétalisé) et les interfaces atmosphériques (surface et troposphère libre) de l’échelle turbulente (diffusivité) au transport longue distance. Concernant le cycle du carbone, j’ai étudié la variabilité atmosphérique de CO2 notamment en région périurbaine et j’ai mis au point différentes méthodes de calcul de flux de surface (eddy-covariance, bilan de masse) en traitant la continuité d’échelle.

Ces travaux sont le fruit d’un travail d’équipe résultant de contributions du personnel technique du laboratoire et d’étudiants en stage, thèse et post-doctorat.

Role of rain in CO2 exchanges at the ocean-atmosphere interface

24/01/2025 14:00

The ocean plays an important role in the global carbon cycle by absorbing about a quarter of the carbon emitted by human activities every year. Exchanges between the ocean and the atmosphere are governed by various chemicophysical and biological processes. Among these processes, rain has been overlooked in past studies due to its intermittence. However, it alters the physical and biogeochemical properties of the ocean surface, and thus promotes the exchange of carbon dioxide (CO2) at the air-sea interface. Rain impacts this carbon exchange in three different ways. First, as it falls on the ocean surface, it generates turbulence that facilitates the renewal of water masses in contact with the atmosphere. Secondly, it dilutes the seawater at the surface, altering the chemical equilibrium within the oceanic carbon cycle and enabling seawater to absorb greater quantities of CO2. Finally, raindrops directly inject CO2 absorbed during their fall into the ocean through wet deposition. The objective of this thesis is to quantify the impact of rain on the oceanic CO2 sink at different spatiotemporal scales. A first global estimation of the resultant of these three effects on the global ocean uptake has been done using reanalysis and observational (in-situ and satellite) products over the period 2008 to 2018. This study shows that rain increases the oceanic carbon sink by 140 to 190 million tonnes of carbon per year, representing an increase of 6 to 8% in the 2.36 billion tonnes absorbed annually by the oceans. The main regions affected by these processes are the tropics, the storm track regions and the Southern Ocean. However, variations in the global estimates are due to large uncertainties on the rain rates themselves and on the associated ocean’s surface response. A more detailed study of the sensitivity of the impact of rain to rainfall rates is carried out at regional (using radar measurements) and global scales. An increase of 15% in the combined effect of rain-induced turbulence and dilution is assessed using satellitebased precipitation estimates instead of reanalysis rain data, the former being characterized by a greater contribution of heavy rainfall to the total rainfall volume. Finally, these fine-scale processes are integrated into the CO2 flux calculations of a global ocean biogeochemistry model (GOBM) forced by atmospheric reanalysis. It allows us to take into account the response of surface biogeochemistry to the rain impact on CO2 exchanges at the air-sea interface. In this framework, the total rain effect leads to an increase of 0.9% in the global ocean sink over the period 1980 to 2022. This significant attenuation of the adjustment in ocean carbon uptake is linked to the accumulation of CO2 absorbed through these processes in the ocean surface layer. This result is directly linked to the capacity of the ocean general circulation model to transfer CO2 in its interior.

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