Regards intimes sur le GIEC


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Le poids de la phrase
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Saisie d’un nouveau regard
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Un processus fascinant
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Sur un siège de bibliographie
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Une machine à lire
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Donner les clés
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Nourrir un regard d’espoir
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Parachutée dans un autre monde

 
 

8 portraits pour une stratégie de communication à but artistique et promotionnel autour du 6e cycle du GIEC.

À l’occasion de la parution du 6e rapport du GIEC en 2023, le service de communication de l’IPSL (ICoM) a fait appel à la photographe Valérie Lilette pour réaliser une série de portraits photographiques des huit contributeurs et contributrices de l’IPSL.
Ce projet avait pour objectif (jeu de mots (in)volontaire !) de mettre en lumière des hommes et des femmes engagée·s à la fois en tant que scientifiques et en tant que citoyens et citoyennes. Et par là-même, de montrer le rôle majeur de la communauté IPSL dans son ensemble et ses réponses aux enjeux de société.

Les 8 contributeurs·trices de l’IPSL.

Laurent Bopp (LMD-IPSL) • Pascale Braconnot (LSCE-IPSL) • Jean-Louis Dufresne (LMD-IPSL) • Valérie Masson-Delmotte (LSCE-IPSL) • Nathalie de Noblet-Ducoudré (LSCE-IPSL) • Jean-Baptiste Sallée (LOCEAN-IPSL) • Sophie Szopa (LSCE-IPSL) • Robert Vautard (LSCE-IPSL).

Les rapports

Rapport spécial (Changement climatique et utilisation des terres, 2019) • Groupe de travail 1 (Les éléments scientifiques, 2021) • Groupe de travail 2 (Conséquences, adaptation et vulnérabilité, publication, 2022)

Synopsis du projet.

La démarche photographique cherche à dévoiler une personne, un individu avec sa sensibilité, son humanité et sa conscience. Pour ce faire, la photographe a choisi de réaliser des portraits en couleurs, avec un cadrage resserré sur le visage, le regard et le haut du corps. Ces portraits visent à garder une trace dans le temps, à la manière des tableaux classiques, de personnalités qui auront joué un rôle dans l’histoire de l’Humanité, dans un contexte de lutte contre le dérèglement climatique.

Valérie Lilette.

Sa reconversion en tant que photographe professionnelle depuis 2021 lui permet de concilier le travail d’enquête lié au reportage ethnologique et anthropologique (sa formation première) et la sensibilisation d’un large public concernant les transformations qu’impliquent les dérèglements climatiques ou tout autre sujet de société. En 2021, elle a obtenu le module « Le reportage photographique » de la formation continue de l’ENSP d’Arles et a également suivi la formation au portrait proposée par l'Agence Vu' « Maîtrise de la lumière d'un portrait en situation ».

Valérie Lilette.

Elle se spécialise dans les portraits accompagnés d’entretiens, de témoignages. Valérie Lilette a toujours navigué entre réalité sociale et formes abstraites. Très tôt inspirée par le courant humaniste de Cartier-Bresson, Brassaï, Salgado, Evans puis plus tard, profondément marquée par Robert Franck, et plus récemment par Micheal Kenna, elle cherche à saisir à travers les scènes qu’elle capture les visages, les regards, les gestes, la trace d’une intériorité que les gens portent en eux, se reconnaissant en cela dans la sensibilité de Dave Heath. Dans le même temps, fascinée par la beauté du monde et sa force poétique, la nature, les paysages, le ciel..., les éléments sont le terrain de ses explorations, à la frontière entre la réalité et l'irréalité, le visible et l'invisible. Faisant parfois de ses photos des tableaux picturaux.