COP29 : Les enjeux et la place du GIEC


Ce lundi 11 novembre 2024 s’ouvre la COP29. Adaptation, solidarité Nord-Sud, urbanisation et inégalités de genre… les thématiques abordées sont multiples. L’occasion de revenir sur l’interview exclusive de Jim Skea, président du GIEC, accordée à l’IPSL.

Du 11 au 22 novembre 2024, Bakou, capitale de l’Azerbaïdjan, accueille la 29e Conférence des Parties (COP) de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC).

Onze jours pour permettre aux représentants des États participants de poursuivre les discussions autour de la réduction des émissions de gaz à effet de serre, alors que le Copernicus Climate Change Service (C3S) estime que l’année 2024 pourrait être la plus chaude depuis 1940 et probablement la première à dépasser le seuil de +1,5 °C.

À l’initiative de l’Azerbaïdjan, qui assure la présidence de cette COP29, les priorités seront les suivantes :

  • L’adaptation,
  • L’aide financière aux pays en développement,
  • La transition énergétique,
  • L’impact du changement climatique sur les femmes et les minorités, les environnements urbains.

Vous trouverez ici l’agenda officiel, détaillant l’ensemble des thématiques abordées.

Le président du GIEC, Jim Skea, interviendra à plusieurs reprises, notamment lors de l’ouverture de la rencontre de haut niveau entre les chefs d’État et de gouvernement au Sommet mondial de l’action climatique pour les dirigeants, le 12 novembre, ainsi qu’à l’ouverture de la Table ronde ministérielle annuelle, prévue le 18 novembre.

 

La prochaine rencontre, la COP30, se tiendra à Belém, au Brésil. Les savoirs autochtones et les communautés indigènes qui vivent et protègent la forêt amazonienne seront à l’ordre du jour.

Pour en savoir plus

Et aussi :

Daniel Peyronel


ICOM-IPSL