« L’objectif de cette retraite est de préparer un ensemble de propositions de réduction de l’empreinte environnementale de nos activités de recherche – en se focalisant plus particulièrement sur le cœur de nos métiers -, et différentes façons d’instaurer une discussion collective à plus grande échelle, » explique Stéphanie Boniface, chargée de mission Bilan carbone à l’IPSL.

Cette retraite première du genre au niveau IPSL s’adresse à tous les personnels IPSL désireux de participer à cette réflexion collective, de la fédération, des laboratoires et des équipes associées, tous statuts et métiers confondus.

« Après un tour d’horizon des différentes réglementations, des principaux plans d’actions connus dans les institutions ou les labos -dans et hors IPSL-, il s’agira de consolider des propositions de mesures de réduction de l’empreinte environnementale de nos activités, y compris leur implémentation, les éventuels freins, et si possible l’estimation de leur impact ; puis de construire plusieurs scenarii correspondants à des objectifs plus ou moins ambitieux, communs pour l’IPSL, » précise-t-elle.

Cette réflexion s’appuiera sur les travaux des groupes déjà existants : les achats (matériels de laboratoire, grands instruments, informatique…), les observations (océaniques, polaires, atmosphériques, satellites…) et le calcul intensif. D’autres thématiques, comme l’enseignement, pourront être abordées.

Les propositions qui découleront de ces deux journées serviront à la prospective de l’IPSL qui sera organisée en mars 2024, pour définir le projet de l’IPSL du prochain quinquennat.

« Cet événement est une occasion rêvée pour que la prise en compte des enjeux environnementaux fasse désormais partie intégrante de nos activités, » conclut-elle.

Pour en savoir plus

Le programme complet.

Contact
Stéphanie Boniface, chargée de mission Bilan carbone, Institut Pierre-Simon Laplace •